Discutons de tout et de rien 🙂
Je viens de voir une affiche avec Léa Salamé…en grand format, elle me déprime.
Ahahah, on me l’a envoyée tout à l’heure…ça fait un peu “la vie, la vraie, Auchan”.
D’ailleurs, y’a Paris et la Tour Eiffel derrière elle… Après on va encore s’étonner que les français se plaignent que le JT national (du service public en plus !) est encore trop parisiano-centré ^^
Je pense qu’elle est là pour la campagne de Gluck ou autre
Première alarme de l’année scolaire, et ils sont en avance de deux minutes.
Si les élèves ne peuvent même plus se fier à la sirène mensuelle pour dire au prof que son cours devrait déjà être fini, le premier mercredi du mois… De mon temps, grmbl…
Ha bah tiens, elle vient de repartir. Est-ce qu’ils se sont rendu compte de leur erreur ?
Oui, ma vie est passionnante.
Je poursuis mon incursion dans l’époque victorienne.
À la fin de l’ère victorienne, les médecins hommes qui examinaient des patientes devaient tenir compte de la » pudeur féminine" (feminine modesty). Les examens physiques se limitaient souvent à une auscultation tactile de l’anatomie d’une femme encore habillée. Les femmes étaient parfois placées sous anesthésie avant le début de l’examen (souvent gynécologique).
Ahem.
Sources :
C’est… terrifiant.